Il y a deux problématiques : celle de la durée – pourquoi dix ans ? – et celle du tempo : il est tout de même incroyable que les efforts importants seront consentis de 2028 à 2030, alors que c'est aujourd'hui que la question de la recherche se pose avec une acuité très forte. Je répète ma question : pourquoi considérez-vous que les efforts les plus importants doivent être reportés en fin de période, alors qu'ils devraient être consentis immédiatement ? Votre choix entre en contradiction avec votre propre argumentation, madame la ministre.