Dans le même registre que l'amendement précédent, le no 48, cosigné par de nombreux collègues de groupes différents, vise à créer un établissement public de l'État, l'« Agence nationale de recherche sur les maladies vectorielles à tiques », qui aurait pour compétence l'animation, l'évaluation, la coordination et le financement des programmes de recherche sur ces maladies.