Cet amendement déposé par Mme Degois vise à renforcer la recherche de méthodes alternatives aux expérimentations animales. Selon les chiffres du ministère de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation, près de 2 millions d'animaux ont été utilisés à des fins scientifiques en 2018, à cause de l'insuffisance des investissements dans des méthodes réellement alternatives.
Pourtant, ces méthodes sont porteuses d'avancées scientifiques et économiques, puisqu'elles augmentent le taux de prédictibilité et réduisent le coût d'utilisation des animaux dans le processus de recherche.