L'amendement voté tout à l'heure visait à mettre tout le monde autour de la table pour accélérer le paiement des vacataires. Mme la ministre a raison : c'est très important. Mais c'est un problème de tuyaux.
Le sujet ici est autre : il s'agit de considérer qu'il n'est pas possible que des vacataires n'enseignent que quelques heures par semaine, et vivent de façon précaire. Nous proposons donc de définir un nombre d'heures minimal, pour éviter ces situations de précarité.