Merci, monsieur le président, de rendre la parole à l'hémicycle…
Sans être favorable à la suppression du crédit d'impôt recherche, je trouve excellente la question posée par notre collègue sur ses modalités. D'abord parce que la question du sens de la recherche doit être posée, que le progrès n'est plus évident, et que nous devons donc être capable de lui fixer des orientations dans le cadre de débats démocratiques et ondées sur la raison. D'autre part parce qu'il y a quelque chose de scandaleux à dépenser 6,5 milliards dans une niche fiscale…