Il s'agit de compléter l'alinéa 3 en précisant qu'au moins 75 % des docteurs recrutés devront être de nationalité française ou avoir réalisé leur doctorat en France. Le recrutement par contrat risque en effet de favoriser sensiblement les recrutements étrangers. Les docteurs français et les docteurs ayant réalisé leur thèse en France peinent à s'insérer dans l'université, faute de postes ouverts et disponibles. C'est la raison pour laquelle il est important d'inscrire dans la loi une clause de recrutement prioritairement français, que la thèse ait été réalisée en France ou que le docteur soit français.