Pour revenir sur votre réponse, Mme la ministre, je suis tout à fait d'accord avec vous. Seulement, en l'état actuel des choses, et pour reprendre l'exemple de l'Hérault, comme l'université n'a été construite qu'à moitié et qu'on ne débloque pas de crédits pour construire l'aile et demie manquante ; et comme l'institut universitaire de technologie – IUT – , qui aurait le potentiel d'accueillir 800 étudiants contre 510 actuellement, n'a pas de crédits pour recruter les professeurs, que le plafond soit fixé à 10 % ou 20 % ne change rien.