Vous indiquez vous-mêmes, à l'alinéa 50 du rapport annexé au projet de loi, que « la France attire toujours des scientifiques brillants en leur offrant relativement tôt des postes stables, là où certains de nos voisins comme l'Allemagne ou l'Italie recrutent des titulaires bien plus tard ». Vous pointez vous-même du doigt cette concurrence en soulignant qu'elle ne cesse de s'accroître et que le CNRS compte par exemple « 700 chercheurs permanents allemands ou italiens dans son effectif ».