Il concerne la parité. Personne ici ne peut être soupçonné d'être contre la parité et l'égalité entre les hommes et les femmes ; en tant que femme, je n'irais pas, me semble-t-il, contre mes propres intérêts. Cependant, la mention répétée, aux alinéas 4, 10, 18 et 24 de l'article 3, des mots « dont la composition ne peut excéder 60 % d'un même sexe » n'est pas une condition de nature scientifique et n'a donc pas lieu de figurer dans un texte relatif à l'enseignement et à la recherche.
Par ailleurs, comme des professeurs d'université me l'ont expliqué à plusieurs reprises, une telle obligation compliquerait régulièrement, en pratique, les constitutions de commissions – dans les deux sens, car dans certains domaines, comme les lettres, les hommes se font très rares. Oser le dire ne doit cependant pas être politiquement correct.
Le 26/09/2020 à 12:46, Laïc1 a dit :
Il y a des branches surféminisées, le médical, le social, le domaine de l'enfance, où il est très difficile à un homme de se faire une place.
Le 26/09/2020 à 12:49, Laïc1 a dit :
Seulement 17 % environ des professeurs dans l'élémentaire sont des hommes...
Le 26/09/2020 à 12:41, Laïc1 a dit :
Quand j'étais jeune, je n'ai pas fait fac de lettres car je trouvais qu'il y avait trop de femmes...
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