Il vise à supprimer l'article qui habilite le Gouvernement à prendre une série d'ordonnances. Les premières habilitations sont sans rapport direct avec le projet de loi de programmation et concernent des domaines sensibles, en particulier les OGM – organismes génétiquement modifiés. Les secondes, relatives aux établissements d'enseignement supérieur privé, reviennent à privatiser l'enseignement supérieur. Sur tous ces sujets, il est nécessaire de mener une concertation avec les acteurs concernés et de s'en remettre au Parlement.
Nous nous opposons à l'habilitation du Gouvernement à prendre des ordonnances en ces matières.