Il vise à préciser concrètement l'objet du préciput, à savoir le financement de la stratégie scientifique des établissements. Actuellement, son trop faible montant ne permet pas de couvrir l'ensemble des coûts indirects induits par les projets.
En outre, le rapport annexé indique que le préciput doit permettre de couvrir réellement les coûts d'environnement, tout en donnant aux laboratoires et aux établissements une capacité supplémentaire pour mettre en oeuvre leur politique scientifique. Cette disposition ne figure pourtant pas dans la rédaction actuelle de l'article.