… et la préfète signe l'arrêté de commencement des travaux. Ceux-ci débutent, 24 millions d'euros sont engagés, mais le Conseil d'État exige leur arrêt. Quelle réponse peut-on apporter ? Est-elle de nature politique ? Administrative ? Le nouveau préfet ne pourrait-il pas prendre un nouvel arrêté ? Il faut en tout cas en sortir.
Nous nous interrogeons en effet sur les causes de l'abstention des électeurs, mais, quand on voit de pareilles choses, il faut comprendre qu'ils n'aient plus envie de voter.