Or, pour ce faire, il faut accélérer et simplifier l'acceptation du public. Aujourd'hui, force est de constater que le développement de l'éolien, tel qu'il est mis en oeuvre depuis des années par une politique de saupoudrage qui ignore les réalités territoriales, n'est plus accepté. On ne peut nier une réticence dans ce domaine.
À la différence de M. de Rugy, je ne pense pas que l'objectif des zonages proposés par M. Jean-Louis Bricout ou Mme de La Raudière soit d'entraver l'éolien, voire la transition énergétique. Tout au contraire, ils visent à permettre son acceptation ou à entraver – ou à organiser – les oppositions.