J'ai rencontré les populations, et j'ai pu constater que, depuis la même maison, on aperçoit non pas dix ou quinze éoliennes, mais vingt, trente, trente-cinq ! Le soir, la nuit, c'est une véritable pollution visuelle. Elles constituent aussi un problème pour nos éleveurs, comme l'a dit à plusieurs reprises notre collègue Yves Daniel.
Elles peuvent aussi se révéler dangereuses, puisqu'il arrive que les pales s'effondrent : cela s'est produit, à Plémet ! Heureusement, il n'y avait personne dessous mais, m'étant immédiatement rendu sur place, j'ai vu les dégâts – et vu ce qui aurait pu se passer si des promeneurs, ou des agriculteurs, étaient passés là au mauvais moment.