Je comprends les préoccupations, que j'imagine très sincères, qui s'expriment sur l'ensemble des bancs de cette assemblée. Mais j'ai également entendu des propos erronés.
Le virus contamine un peu moins vite mais toujours aussi fortement. Il n'est pas moins dangereux que lorsque nous siégions à une dizaine sur ces bancs. Je me rappelle que certains d'entre vous, dans l'opposition, avaient alors pris, de manière concertée, des décisions très responsables. C'est le même esprit de responsabilité qui doit continuer de présider à nos débats.