L'adoption du projet de loi ne vaut pas fermeture irrévocable des discothèques jusqu'à fin du mois d'avril, comme vous avez pu le laisser entendre. Il faut que cela soit bien clair pour la représentation nationale et, peut-être plus encore, pour les gens qui travaillent dans ce secteur, qui nous écoutent et nous regardent. Je répète à leur intention que le Gouvernement a bien conscience des difficultés auxquelles ils sont confrontés, et je réaffirme notre volonté de les accompagner dans la crise.