cela fait un peu fil rouge, mais nous avons bien compris qu'il s'agissait d'un sujet important. Si nous sommes nombreux à être intervenus sur le sujet, c'est parce que l'on nous en parle dans les territoires.
Monsieur le secrétaire d'État, vous avez dit que nous étions regardés par ceux qui travaillent dans ce secteur. C'est vrai. Au 1er juillet, on comptait 1 600 discothèques en France ; nous sommes désormais le 1er octobre, et il n'en reste plus que 1 400. Il y en a donc déjà 200 qui ont déposé le bilan, voilà la vérité.
Nous sommes regardés parce que des aides devaient être apportées aux discothèques, pour lesquelles bon nombre d'entre nous s'étaient mobilisés. Sous l'égide du ministre délégué auprès du ministre de l'économie, des finances et de la relance, chargé des petites et moyennes entreprises, Alain Griset, ces aides ont été obtenues dès le mois de juillet. Seulement, il arrive parfois qu'entre une décision ou un protocole d'accord et sa traduction dans un décret, certaines choses évoluent. En l'occurrence, lorsque le décret d'application est sorti au mois d'août, 90 % des discothèques n'avaient finalement plus droit à ces aides.
Il a fallu la mobilisation générale de nombreux acteurs et de nombreux dépités…