et compris l'urgence qu'il y avait à accompagner économiquement toutes les discothèques et les professionnels qui, depuis le 16 mars, ne faisaient que dépenser de l'argent, sans que la promesse « zéro recette, zéro dépense » ne se concrétise pour eux – mais c'est un autre sujet.
On voit bien qu'il y a parfois des failles, monsieur le secrétaire d'État, entre votre volonté et ce qui est écrit dans les textes. Par exemple, tel qu'il est rédigé actuellement, l'article 45 du décret du 10 juillet 2020 impose la fermeture des discothèques et des établissements de type P. Il ne laisse pas la possibilité de les rouvrir ! C'est pourquoi nous devons maintenir une vigilance parlementaire.
Je vous invite, mes chers collègues, à ne prolonger le régime transitoire que jusqu'au 31 décembre, date à laquelle nous pourrons faire le point et évaluer le protocole.