J'en connais certains qui n'auront pas besoin de cette disposition car cela m'étonnerait qu'ils puissent faire du sport tellement leurs ressources vont diminuer. Je parle des 1 100 salariés de Béthune que j'ai rencontrés avant-hier. J'ai passé vingt-quatre heures avec eux. Ils sont dans l'état que vous pouvez imaginer. Nos amis politiques, sur place, sont eux-mêmes complètement débordés. Ces salariés n'auront pas droit à la pratique sportive, qu'ils en veuillent ou pas. Je me demande combien de temps on va continuer de fermer des usines entières, comme ça, dans toute la France, sans que personne ne dise un mot.