Mon intervention s'inscrit dans le même esprit que les précédentes. Nous planchons sur l'accélération et la simplification de l'action publique. Puisque nous touchons à la fin du débat, j'entreprends de l'élargir. La presse est chargée d'en rendre compte. J'ai beaucoup aimé l'intervention d'Aurore Bergé, qui relève une possible incohérence en matière de concurrence et montre que l'agriculture pourrait en être pénalisée. Elle est certainement une des mieux placées ici pour débattre du sujet qui me préoccupe.
Comment pouvons-nous laisser le pauvre Arnaud Lagardère être mangé par le géant des médias et du divertissement qu'est M. Bolloré – vous l'aurez reconnu ?