Ce paradoxe est incompréhensible et très mal vécu par nos agriculteurs et l'ensemble des filières agro-industrielles.
Si elle devait se confirmer, la position de la Commission aggraverait la situation actuelle car les fonds POSEI sont déjà insuffisants et doivent être complétés par des aides nationales. Pire, l'autosuffisance alimentaire de nos territoires, qui est désormais un objectif partagé par tous, serait durablement compromise.
Monsieur le ministre, quelle initiative comptez-vous prendre, en liaison avec l'Espagne et le Portugal, pour que l'enveloppe du POSEI soit au moins maintenue à son niveau actuel ?