On en pense ce qu'on veut, mais la situation m'interpelle.
Quatre ans plus tard, au vu de l'état écologique de la planète, les députés auraient dû décider eux-mêmes plutôt que de déléguer ce pouvoir au Gouvernement.
Pour toutes ces raisons, je voterai à titre personnel et en conscience contre le projet de loi ; certains de mes collègues du groupe UDI-I voteront contre également, d'autres pour, d'autres encore s'abstiendront.