que nous considérons comme un texte symbolique et qui est un premier pas vers quelque chose qui doit s'élargir.
Nous souhaitons que le Parlement se saisisse d'une démarche qui vise à créer les conditions et les paramètres d'une rétrocession universelle au titre d'une loi-cadre, et non pas d'une loi d'exception, et qui nous permettrait peut-être de redéfinir notre relation avec nos anciennes colonies et, plus largement, la relation de la France avec l'Afrique. Nous sommes aujourd'hui à un moment de l'histoire où nous devons refonder nos relations de partenariat. Profitons donc de cette loi et de cette réflexion pour donner corps à cette ambition.