Cela me touche. Je remercie également M le secrétaire d'État d'avoir bien voulu me répondre, lors de l'examen de l'article 24 bis, alors que rien ne l'y obligeait – j'apprécie cette attitude car je ne compte pas le nombre de ministres qui, avant lui, ne m'ont pas répondu alors qu'ils auraient pu le faire. Je remercie enfin madame la rapporteure pour avis qui a fait beaucoup d'efforts pour me répondre car je dois reconnaître que mes propos n'avaient pas vraiment de rapport avec le projet de loi.