Ces éléments de contexte me font vous dire, cher Cédric Villani, que le climat dans lequel nous évoluons actuellement au sujet des animaux est à l'opposé – le contraste est énorme – de la dynamique qui avait été créée par les états généraux de l'alimentation, alors voulus par le Président de la République et animés par le ministre de l'agriculture de l'époque, Stéphane Travert.