Mais le président Macron ne veut pas de ce débat, soumis qu'il est à la lobbycratie de la chasse. Un ancien de ses ministres en a d'ailleurs fait les frais.
Nous voulons avoir le débat sur la vénerie sous terre, le déterrage des blaireaux et des renards, dans un déchaînement de violence brutal et mesquin, pour battre à mort des animaux que l'on a déterrés de leur logis.