Nous voulons avoir le débat sur l'élevage intensif, qui martyrise 3 millions d'animaux chaque jour dans notre pays. Le règlement de l'Assemblée ne nous permet pas de débattre du broyage des poussins vivants ; nous n'en parlerons même pas. La semaine dernière, des images terribles de lapins en cages étaient révélées ; aujourd'hui, ce sont des cochons. Chaque fois, c'est la même chose : souffrance, souffrance, souffrance ! Le tout pour satisfaire des objectifs de rentabilité qui ne permettent même pas à l'éleveur de vivre, mais qui se perdent dans les marges de la grande distribution ou dans le marché mondial dérégulé.