Monsieur le président Lagarde, vous vous êtes exprimé à de nombreuses reprises aujourd'hui, et je ne vous ai pas interrompu une seule fois. J'aimerais bien que vous m'écoutiez.
Je vous accorde que c'est très embêtant, monsieur Brindeau, mais je suis très étonnée que personne n'ait dit un mot à propos des chasseurs qui sont venus devant ma permanence – j'ignore si d'autres parmi nous sont concernés – pour essayer de m'intimider – celui qui y parviendra n'est pas né – et de me faire changer d'avis.