M. Lachaud nous a parlé d'un passé rêvé que je ne connais pas, et que mes ancêtres n'ont pas connu, dans lequel les animaux vivaient bien au chaud dans les étables, avec les agriculteurs.
L'époque dont vous parlez, mon grand-père l'a vécue. Chaque fois qu'il m'en parle, il me rappelle qu'alors il n'avait pas de quoi manger. La réalité est que l'agriculture vivrière d'avant la seconde guerre mondiale ne permettait pas à chacun de manger correctement, alors même que les humains étaient trois fois moins nombreux.