Ils continuent de peser lourdement sur notre compétitivité et sur les ménages. Nous nous en tiendrons donc à la ligne qu'a fixée le Président de la République et que je répète depuis près de quatre ans, car d'elle dépend le succès de la relance : aucune augmentation d'impôt, aucun nouvel impôt. Et encore moins sur la taxation de l'épargne, comme m'y invitent certains. Comme ministre des finances, je m'opposerai à toute taxation de l'épargne des Français : nous taxons déjà suffisamment le travail des Français pour ne pas taxer en plus le produit de celui-ci.