Pas un cauchemar, un rêve. La crise frappait le monde, notre pays – ça, c'était la réalité. Un gouvernement très libéral avait très mal géré la première vague ; un nouveau gouvernement venait d'être nommé. Et là, coup de tonnerre dans un ciel serein : le nouveau premier ministre prenait les affaires en main, réorientait complètement les centaines de milliards d'euros d'argent public mobilisés face à la crise, appelait à la mobilisation de toute la nation, y compris des plus riches, énonçant une priorité claire : « Ce n'est pas aux Français de payer cette double crise sanitaire et économique : nous serons à leurs côtés. »