L'idée que mes collègues du groupe Les Républicains et moi-même essayons de faire valoir est que le niveau de la dette variera considérablement en fonction du scénario qui se réalisera. Dans le premier scénario, le vôtre, la dette atteindra 107 % du PIB en 2025. Dans le second, elle atteindra 116 % du PIB à cette date et, dans le troisième, 126 %. Ces scénarios, je ne les ai pas inventés, ce sont ceux de la Cour des comptes. Autrement dit, si les circonstances sont défavorables, la dette sera plus élevée de 20 points de PIB. Dans ce cas, ce ne sera ni le même État, ni le même budget, ni les mêmes décisions.