M. le ministre délégué est un peu gêné, parce qu'il appartenait jusqu'à il y a peu au Parti socialiste et a donc voté en faveur de ces réformes – au moins, il est constant dans l'erreur. Cela étant, le plafond n'a pas été de nouveau abaissé sous cette législature : on n'y touche plus.
Comparons deux familles aux revenus identiques, mais dont l'une serait sans enfant, et l'autre en compterait deux, trois ou quatre : le quotient familial constitue un élément d'un équilibre global. Les socialistes ont eu tort d'y toucher. Je voterai donc en faveur de ces amendements identiques.