Monsieur le ministre, je vous entends parfaitement et j'approuve tout ce qui a été fait lors du premier Ségur, mais la question n'est pas là : je veux vous dire que les soignants sont épuisés et ne sont pas sûrs de pouvoir faire face à la deuxième vague. Ce que réclament tous les collectifs de soignants c'est un deuxième Ségur, où tous les soignants seraient autour de la table pour exposer leurs propositions – cela et rien d'autre. J'insiste sur ce point, sans remettre en question votre action et les mesures que vous avez prises.