Vous avez raison de noter que si des discussions formelles et des négociations ne sont pas ouvertes, l'État doit continuer à mener des discussions, comme il en a la responsabilité. Nous avons d'ores et déjà soumis les concessionnaires à une indexation de taxes qui n'était pas prévue initialement.
Les chiffres que vous avez cités portent effectivement sur la période allant de 2006 à 2019. En prévision de l'échéance de 2030, nous devons nous efforcer de réunir l'ensemble des forces politiques afin de parvenir à un consensus, ce qui me semble être également votre objectif.