J'entends les préoccupations exprimées par le rapporteur général et par le ministre délégué, mais le crédit d'impôt dégressif pourrait être calibré de façon à éviter que le nouveau dispositif coûte plus cher à l'État. L'enjeu n'est pas financier : il s'agit de permettre à tous ceux qui le veulent de participer aux campagnes électorales, y compris par le biais d'un don, en leur proposant en retour une aide financière, qui, objectivement, n'existe pas actuellement pour ceux qui ne payent pas d'impôt sur le revenu.