Il faudrait donc une vraie discussion et j'espérais que vous seriez plus ouvert, monsieur le ministre délégué, en reconnaissant le problème, dont la solution n'est pas de supprimer sèchement l'abattement mais de conduire une discussion avec la presse.
J'ajoute que la situation n'est pas saine, pour les journalistes, car on leur reproche ce privilège. J'en ai parlé avec les syndicats de journalistes, qui reconnaissent eux-mêmes que ce n'est pas sain et qu'il faudrait se mettre autour d'une table pour régler ce problème, en évitant une mesure sèche de suppression – raison pour laquelle je ne voterai pas l'amendement.