Il est défavorable, pour les mêmes raisons. M. le rapporteur général l'a rappelé : nous avons porté le plafond d'exonération des heures supplémentaires de 5 000 à 7 500 euros pour la durée de la crise. Vous proposez d'aller plus loin ; nous préférons pour notre part en rester aux dispositions d'exonération qui avaient été votées avant la crise, au début du quinquennat. À défaut du retrait de l'amendement, je confirme l'avis défavorable du Gouvernement.