De plus, la simple exonération dont nous avons décidé pour le temps de la crise générera, en réalité, pas moins de trois ans de retard dans la gestion du système. En effet, j'ai été alertée par plusieurs entreprises, qui m'ont expliqué que comme elles annualisaient les heures supplémentaires, elles subiraient les conséquences de l'exonération – pourtant temporaire – jusqu'en 2023.