Monsieur le rapporteur général, je suis tout à fait d'accord avec vous : évaluons, évaluons, puisque c'est la mode, l'usage et le propos convenu.
Monsieur le ministre délégué, je suis d'un naturel optimiste : je retiens de votre réponse que nous pourrons examiner la proposition en deuxième partie, donc que nous pourrons y travailler et éventuellement progresser. Je crois qu'il est indispensable que nous progressions cette année, car nous n'avons pas de temps ! Ce n'est pas comme quand on construit du neuf !
Quand on investit dans l'immobilier neuf ou en construction, dans le cadre du dispositif Pinel par exemple, les choses vont relativement vite. Dans le cas qui nous occupe, l'opération est très longue : le promoteur doit faire l'acquisition d'un immeuble, dont il peut par exemple posséder une partie et dont il doit acheter le reste, ce qui n'est pas si évident, et il doit ensuite s'engager dans une restauration qui sera très longue.
Pour toutes ces raisons, il faut acter que nous devrons prendre une décision dès cet automne, de façon à ce qu'elle s'applique au-delà de 2022.