Nous sommes au coeur d'une crise absolument inédite ; nous avons besoin de tous les acteurs, et il faut éviter qu'ils passent deux ou trois mois, à la sortie du PLF, à se demander ce qui a changé dans leur environnement fiscal et réglementaire. Je pense que c'est une donnée au moins aussi importante que les investissements et les aides financières que nous pouvons leur fournir. Si nous pouvions par exemple dire au secteur du bâtiment qu'il pourra, une fois le PLF voté, investir et construire dans le même cadre réglementaire qu'avant, ce serait un message très positif. Je vous demande donc le retrait ; à défaut, mon avis sera défavorable.