La dernière période a été, pour beaucoup d'associations, celle de l'inactivité : qu'il s'agisse d'associations sportives ou culturelles, tous les événements qu'elles organisent et qui leur permettent de fonctionner, d'investir et in fine de créer des emplois en leur apportant des recettes – tickets d'entrée aux manifestations, aux kermesses, accès à la buvette – , ont disparu. En outre, à ce manque à gagner considérable s'est ajoutée la baisse des subventions, nombre de celles-ci étant, de surcroît, fonction du nombre d'animations organisées. D'où l'intérêt d'utiliser le levier fiscal en rehaussant le taux de défiscalisation applicable aux dons et au mécénat.