Cela encouragerait peut-être la majorité à demander à Mme Veolia d'éviter de se précipiter sur Mme Suez pour la bouffer, alors que celle-ci était au Gabon – où nous avons d'ailleurs beaucoup perdu. On a du mal à comprendre ce que font les vrais puissants de notre temps avec leur fortune, qui est quelque part aussi celle du pays. Quand je vois ce que devient le pauvre Lagardère, propriétaire de Paris Match, qui a fait cinquante unes sur les trois derniers présidents – un peu plus sur M. Macron que sur les autres d'ailleurs – , je pense que cela nous encouragerait.
Bravo donc aux auteurs des deux amendements. Je les vote et j'encourage toute l'Assemblée à franchir quelques caps de plus : il faudra que tout le monde se mette à partager un tout petit peu, sinon ce partage risque de nous être un jour imposé.