À la suite des annonces du Président de la République, vous en appelez, monsieur le ministre délégué, à la responsabilité des uns et des autres. J'en appelle pour ma part à la responsabilité du Gouvernement puisque nous sommes en train d'examiner un texte largement bâti sur l'hypothèse, notamment, d'une croissance de 8 % qui n'est probablement plus tenable à l'instant où je m'exprime.