Il vise à supprimer la taxe sur les partages dont le taux a été ramené, l'année dernière, de 2,5 à 1,8 % à partir de 2021, et 1,1 % à partir de 2022.
Le droit de partage renchérit considérablement le coût des divorces, et retarde souvent les opérations de liquidation. Le Gouvernement avait reconnu que le taux de la taxe était élevé. Sa suppression faciliterait vraiment le processus du divorce et permettrait à certains de sortir de situations difficiles.