Parmi les moyens de soutenir la relance, vous avez cité, avec l'immobilier et le développement des PME, le secteur automobile. Pardonnez-moi, mais la législation autorise déjà des donations de 100 000 euros par ascendant et par enfant tous les quinze ans ; vous proposez de les porter à 150 000 ou 160 000 euros, selon les amendements. En matière d'aide à l'acquisition d'un véhicule automobile, nous ne parlons pas des mêmes modèles !