Monsieur le rapporteur général, vous évoquez une enveloppe de presque 400 millions d'euros destinés à soutenir la robotisation des entreprises. Mais je pense aux TPE, aux travailleurs indépendants, aux commerçants de centre-ville qui doivent faire face à la montée de l'e-commerce et développer leurs pratiques numériques – pour cela, le confinement a été un accélérateur, d'ailleurs. Auront-ils accès à ces mécanismes ? Pourront-ils par exemple changer leur matériel informatique aussi simplement que le permet le suramortissement, qui n'est finalement qu'une écriture comptable ?