Il ne vous étonnera pas, j'en suis sûr. Je suis attaché à la trajectoire de baisse de l'impôt sur les sociétés telle que nous l'avons annoncée au début du quinquennat, en 2017 – une trajectoire très rarement tenue par les majorités qui nous ont précédés. Nous avions fait part de notre intention de parvenir à 25 % en 2022, et nous atteindrons ce résultat. C'est cette correspondance entre les annonces et les réalisations qui est à l'origine de la dynamique d'investissement des entreprises, donc de la création d'emplois. Cette stabilité sur le plan fiscal, mais aussi entre ce qui est annoncé et ce qui est voté, me semble extrêmement importante. C'est pourquoi j'émets un avis défavorable.