Adopté par la commission des finances, il vise à corriger la rédaction relative au crédit d'impôt phonographique, en déplaçant la mention des dépenses pour production d'images de la catégorie des dépenses de développement vers celle des dépenses de production. Il s'agit de sécuriser une évolution des pratiques, conformément aux intentions du législateur lors de la création du dispositif.