Savez-vous qu'un bon tiers des contrats d'assurance-vie en euros financent le déficit du budget de l'État ? Dans ces conditions, vous comprenez bien qu'aucun ministre des finances ne validera jamais de telles dispositions. Soyons pragmatiques : remettons d'abord de l'ordre dans nos finances publiques – nous devrions y parvenir en dix ou quinze ans. Alors seulement, nous pourrons examiner votre proposition.